"Savoir qui je suis, c'est se risquer à mourir"

Vous êtes un homme froid et calculateur. Vous observez toujours avant d'agir, quitte à passer des heures parmi la foule, sans vous faire remarquez. Vous êtes calculateur, vous n'aimez pas quand la situation vous échappe. Vous n'offrez que de rares sourires, hormis amusé, narcissique ou supérieur. Vous appréciez la vie londonienne en tant que petit con d'Américain.
Vous avez un certain respect pour la vie humaine que vous jugez belle, comme votre sire vous l'a appris, mais vous tuez sans remord lorsque cela est nécessaire. Insolent et provocateur vous savez utiliser un sourire même face à un affront. Un de ces sourires hautains dont vous avez le secret mais qui passe pourtant pour quelque chose d'aimable.

Vous êtes un jaloux, comme un gosse, au sujet de votre sire et vous perdez votre maturité quand vous entrez en conflit avec Vlad. Vos batailles ne volent pas très haut, mais en même temps, vous savez que si vous en faisiez trop, vous devriez subir le courroux de Despera.


Quand vous avez rencontré Despera, vous ne pensiez pas qu'elle s'intéresserait à vous. Jeune homme anglais et comédien à vos heures damnées. Vous n'étiez pas, comme on le considérait à l'époque, un jeune homme de bon avenir. Un comédien! Tout le monde sait que les comédiens ont tous les défauts du monde!
Mais au contraire, vous avez croisé cette femme dans une rue, vous étiez au sol, on vous avez tabassé à mort pour quelques questions d'argent. Et puis, dans sa robe magnifique, elle s'est agenouillée dans la boue pour vérifier vos blessures. Elle vous a recueillis chez elle et vous a soigné. Quand elle vous a laissé repartir, vous êtes venus encore et encore et encore. Jusqu'à ce que vous fassiez céder ses barrières, que vous en fassiez votre amante.
On vous a traité de gigolo à l'époque. Mais ils ne savaient pas eux. Qui elle était. Vous si. Despera a finit par vous transformer.

Vous êtes restés ensembles longtemps, cent ans peut-être mais elle n'était pas fidèle et vous non plus. Enfin c'est votre faute, elle vous a surpris plusieurs fois avec des amant(e)s. Elle a finit par ne plus vous tenir fidélité. Et dans un climat de non dit et de tension vous vous êtes quittés.
Vous ne l'avez pas revu depuis des années, des siècles, vous avez fait votre vie. Sans jamais oublié les valeurs qu'elle vous a inculqué mais en fondant les vôtres.
Vous n'avez jamais été friand de créer des infants, sauf peut-être trois ou quatre, mais jamais au point de tarir le sang.

Il y a quelques mois, vous prenez le choix de revenir vers Londres en tant que riche Américain. Ce que les anglais peuvent vous détester de ce simple fait. Vous gravitez dans la sphère Londonienne. Quand vous avez senti la tempête, vous avez su que Despera arrivait. L'enfermement de la Mère? Vous étiez d'accord. Cette femme était dangereuse.

Despera Dolmes Votre sire. Vous l'avez trompé et elle ne semble pourtant pas vous en avoir voulu. Elle est trop protectrice et capable de s'oublier que vous ne pourrez peut-être jamais savoir. Alors vous culpabilisez encore. Vous vous rendez plus froid que vous ne l'êtes, mais elle est votre créatrice et vous la respectez. .

Vlad Basarab Vous êtes des rivaux. Des rivaux parce que votre sire ne l'a pas crée et pourtant il est comme son infant. Vous détestez cela. Et il le sait. Vous êtes deux gosses qui se chamaillent selon Despera. Mais c'est pire! Il a réveillé votre sire sans vous prévenir de sa démarche! Ce chacal!.

Artémis Anthéa Capricieuse et exigeante, l'amante des journées d'ennuis ne vous pas plus que cela et c'est réciproque. Elle vous agace rapidement avec ses exigences. ..

Constance Jekill L'humaine est un jeu qui vous plait. Elle ne peut pas réellement vous dire non, mais elle le fait. Vous cherchez à la séduire, pourquoi? La faire votre ou simplement obtenir ses jupons pour la délaisser ensuite? Qui sait. A part vous..

Frank North Un jeune vampire qui n'imagine même pas l'âge et la puissance que vous pouvez avoir. Il est devenu votre souffre douleur et il semble aimer cette position parce qu'il revient toujours vers vous. Un syndrome de la victime qui aime au final son bourreau peut-être?En tous les cas, il sera votre jouet le temps qu'il vous amusera. Puis c'est votre petite pute attitrée que vous entretenez avec pas mal d'argent.