"Elementaire mon cher Watson"

Vous avez une mémoire remarquable. Vos connaissances sont vastes et variées dans les domaines nécessaires à votre travail. Vous êtes un célibataire endurci, misogyne, élégant mais négligé, vous avez une vie de bohème dans le genre. Vous fumez et vous êtes un sportif accompli. Vous jouez du violon et vous ne supportez pas l'oisiveté. Vous vous droguez. Si vous ne travaillez pas, vous approfondissez vos connaissances. Volage, égoïste, supérieurement intelligent, vous bafouez la loi si nécessaire pour votre but : la justice. Vous n'accordez pas d'importance à l'argent, ni aux rangs de vos clients. Vous vous déguisez aussi et aimez prendre au dépourvu vos clients ou Watson.


Gosse des rues à l'esprit vif, vous avez rapidement appris le sens du mot débrouille. Pourtant votre mère était souvent là, souvent derrière vous, vous répétant sans cesse que vous étiez un gosse intelligent, son petit homme. Vous n'avez pas toujours été un fils irréprochable, malheureusement et vous lui avez causé beaucoup de souci, alors qu'elle vous a élevé seule et a toujours tout fait pour vous. Et mettre dans vos assiettes tout ce qu'il fallait.
Quand elle est morte, vous vous en êtes voulu. Et vous n'avez plus jamais supporté l'injustice. Vous avez commencé à vous instruire, au fur et à mesure du temps, vous êtes devenu l'homme que vous êtes, vous avez rencontré Watson et vous êtes devenue le grand Holmes. Ma plaie d'égypte.

[Je n'ai volontairement pas fait de Holmes en pv, pour que vous soyez libre de faire ce que vous voulez]

James Moriarty Vous ne savez pas encore qui je suis, pour vous je suis votre ennemi, une ombre planant sur Londres mais vous mènerez l'enquête. Même si je vous ai envoyé sur une fausse piste dernièrement vers l'Inde, vous revenez à Londres dans le fabuleux espoir de pouvoir vous dressez contre moi. Trouverez-vous qui je suis?.

Miss Wells Vous avez ces courbes à l’œil, c'est le seul indice que vous ayez sur les affaires du criminel. Vous avez l'oeil, vous la surveillez...vous obtiendrez peut-être des renseignements. .

Irène Adler Vous perdez vos moyens devant la dame et ses attitudes sulfureuses. Vous oubliez presque parfois l'enquête que vous meniez. Le pire, c'est que vous savez que cette femme se joue de vous. Vous le savez terriblement, mais vous ne parvenez pas à vous défaire d'elle. Elle sait des choses, du coup, vous devez savoir ces choses et puis...vous êtes déjà perdu entre ses sublimes griffes. .

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